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J'avais appris mais tout restait à comprendre .
10 janvier 2010

Réveille toi, c'est l'heure de mourir.

Et pourtant y'a un tas de chose qu'il pourra jamais comprendre. Tout s'que j'vois c'est que j'suis restée toute seule parce que tout le monde vivait sa vie de parfait petit couple bien éphémère et que personne n'avait envi de s'en occuper, et surtout que personne ne pouvait rien faire. J't'écoute parler, dire les mêmes choses, les mêmes choses que moi alors que c'est tellement différent, les mêmes choses que tout ces pauvres gens qui nous ressemble mais qui n'ont rien d'égal. Toujours toujours toujours & encore la même peine, la même douleur. Les mêmes envies de meurtre mais bordel pourquoi on nous fout pas la paix?! On n'a pas choisi. On subit, on subit mais on demande que ça! On sait ou on va mais on fonce quand même. On fonce, on court et on se plante. On tombe comme des merdes, que nous sommes. Et maintenant? Bah va gerber ton cœur en pièce, chialer ta putain de rage qui fait chier tout le monde & surtout toi. Personne ne peut t'aider, même moi je n'peux rien faire. C'est vrai quoi, comment tu veux que j't'aide alors je clame une présence comme une folle? Pour te relever faudrait que j'ai un coeur. Mais désolé, on l'a cassé, Il est mort. Comme moi. Comme toi. Comme nous. Comme tout ces gens qui ne valent plus rien.

Prenez garde aux sentiments, moi la vie m'étouffe. Mais je continue à avancer. Même si l'envie me manque, je continue. Et d'une manière plutôt étrange j'oublie. J'oublie qu'un jour il était là, avec moi.

Mais honte à toi! Qu'est ce qui te prend? C'est pas parce-que je pleure que j'ai plus envie de tout casser. Ecoute moi, écoute bordel, tu m'entends? J'te déteste! J'vous méprise tous. T'étais pas forcé de tout volé, quand j't'ai rencontré j'pensais pas que tu ferais ça. Sinon crois moi, j't'aurais jamais invité à rentrer. Je suis conne. Quand tu le disais, j'te croyais pas. Mais maintenant ça sonne comme une évidence, l'amour est un combat perdu d'avance. J'ai étais conne. Et toi là, putain toi pourquoi tu reviens pas? Ton etreinte rendait l'impossible accessible, l'inimaginable devenait réel. Je voudrais retrouver la manière que j'avais de sourir lorsque tu me regardais, la forme que prennaient mes yeux et la façon que j'avais de te dire que tu me rendais meilleure. Je suis lunatique.

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